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La Cigalle, mythique salle de spectacle à Paris, a accueilli hier soir la musique portugaise avec deux artistes portugais, le chanteur Antonio Zambujo, très influencé par la pop et les musiques brésiliennes, et la chanteuse Misia qui revisite le fado.
« Chanter le fado, c’est comme chanter le destin », déclarait la chanteuse sur Europe 1 le 12 janvier. A 64 ans, Misia présente son nouvel opus, et rajeunit le fado en introduisant des riffs de guitare électrique. «Ce sont des textes qui abordent des thèmes existentiels, toujours, on va pas découvrir la poudre, on fait différent mais pas nouveau», explique la chanteuse à l’AFP. Après avoir vécu à Paris, Misia est retournée à Lisbonne au Portugal. De son côté, Antonio Zambujo est originaire de l’Alentejo, une région rurale où les chants polyphoniques ont bercé son enfance. Son nouvel album, «Do Avesso», qui signifie « à l’envers », est imprégné de la bossa et de la samba. Sous influence brésilienne, le chanteur revisite également le fado.
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